OPINION

 

La jeunesse et la sécurité dans les campements

Salah khatri

Comment accepter le triste spectacle des agressions contre les personnes ?
Comment ne pas s’inquiéter de la sécurité dans les campements ?
La jeunesse porte la richesse et l’espoir de toute la société. C’est pourquoi nous voulons une politique de l’état qui doit assurer à chaque jeune un accueil et un enseignement de qualité, qui lui permettre d’acquérir la qualification, la meilleure possible et de développer ses compétences tout au long de la vie.
Aujourd’hui, la majorité de nos concitoyens subissent ou craignent de vivre cette insécurité sociale pour eux-mêmes et pour leurs enfants.
L’état demeure le garant de la cohésion nationale, à ce titre, il doit assurer une répartition juste et cohérente.
Il s’agit de réinstaller l’état et la démocratie sociale comme garants de la justice sociale et d’un partage équilibré afin de faire émerger de véritables contre pouvoirs face aux mécanismes dévastateurs de l’économie actuelle.
Le recul des engagements de l’état l’empêche aujourd’hui d’être garant de l’égalité entre les citoyens. Il est essentiel de renforcer la volonté et les moyens du pouvoir public. Pour beaucoup de nos concitoyens, l’avenir est incertain : travailler, éduquer ses enfants, se soigner se sont accrues ces dernières années, la confiance dans l’action collective pour assurer durablement le bien être de chacun est aujourd’hui gravement mise à mal. La nécessité d’un politique cohérente s’impose plus que jamais.
A l’heure où les dérives proposition populiste alimentent la crise de la légitimité de la représentation politique mais aussi sociale, il nous faudra travailler sur une meilleure articulation de la démocratie. Et placer cette démocratie au cœur de notre projet politique et en faire le moteur de notre action ne peut que nous amener à aller plus loin sur le chemin de la rénovation de nos idées mais aussi de nos politiques.
Nous devons à la fois donner forme à la souveraineté populaire et s’assurer de la liberté du débat, si ce sont des conditions nécessaires à l’ambition démocratique, elles ne sont pas suffisantes et  surtout, elles ne sont pas accomplies. Nous constatons en effet que le lien politique entre les représentants et les citoyens traverse une crise profonde.
Et dans la situation que nous connaissons aujourd’hui, nous ne pouvons pas faire l’impasse d’une réflexion approfondie sur le sujet de la sécurité, c’est un sujet de première importance  qui préoccupe l’ensemble de nos concitoyens.  
Après près de 16 années d’attente  abandonnée, la décrédibilisation de la vie publique est profonde. Nous devons proposer un renouvellement en profondeur de nos institutions et la mise en place d’une véritable république, cela passe d’abord par la remise en cause de la prééminence excessive de l’exécutif sur le législatif et par le renforcement de la délibération collective. Le parlement doit être un vrai législateur et non une simple chambre d’enregistrement. Au parlement comme dans les autres instances délibératives, la démocratie commande également de revoir le statut de l’opposition et le droit d’initiative doit être reconnu aux citoyens (pétition). Pour tenter de tracer des perspectives, pour tenir compte des ces inégalités, de leur persistances, pour essayer de les dépasser et de poursuivre l’ambition démocratique constative de notre identité politique. Je essaierai d’évoquer mon ressenti au sujet et je suis même quelque peu inquiète.

1 - La justice :

La justice est un instrument essentiel de la cohésion sociale, elle doit être au cœur du fonctionnement démocratique de nos institutions.
La crise que la justice traverse depuis toujours est une question fonctionnelle,
La justice pénale, la justice civile, ils fonctionnent mal, et attende des réponses politique à la hauteur des besoins.
Le grave menace contre la république  que constitue l’activité des groupes islamiste et la criminalité organisée justifie l’existence  d’un politique pénal spécifique.
La lutte contre la délinquance de droit commun, la récidive et la développement de la violence chez les jeunes ne réussira que si nous sommes capables, dans le même temps, d’améliorer la protection des libertés individuelles et de développer une politique globale qui garantisse l’efficacité des dispositifs de prévention, de répression, et de développement économique et social. Les sahraouis attendent beaucoup de leur justice, le pouvoir doit tout mettre en ouvre pour que les citoyens retrouvent confiance dans la justice.

La justice doit être :
1 - Une justice plus proche des citoyens et plus accessible : notamment pour les plus faibles, qui ce soit au pénal, pour les victimes d’infractions, au civil pour les contentieux de la famille.

A - Les maisons de la justice et du droit doivent voir leur rôle conforté et leurs moyens accrus dans une politique d’accès élargi au droit et d’aide à la résolution  amiable des litiges (conciliation, médiation) sous le contrôle du juge.
B - L’aide juridique doit évoluer pour permettre aux avocats d’assister utilement les justiciables, y compris dans les affaires complexes, au pénal comme au civil.

2 - une justice de qualité plus rapide et plus efficace :
3 - une justice plus protectrice des libertés et droits des victimes :

A : une situation dans les prisons respectueuses des droits de l’homme.
B : la création d’une véritable juridiction des libertés et de la détention.
C : lutter contre la récidive en développant les peines alternatives à la détention.

Il apparaît aujourd’hui indispensable de :
1 - chaque année le ministre de la justice présentera au parlement ses priorités de politique judiciaire et un rapport sur l’activité judiciaire.
2 - Le développement des moyens humaines et matériels de la justice nécessaire à la mise en œuvre de ces politiques fera l’objet d’une loi de programmation.
3 - La formation des magistrats et des fonctionnaires devra prendre en compte les enjeux moraux, économiques et sociaux de l’activité judiciaire.
4 - Un véritable observatoire national de la délinquance indépendant et doté des moyens budgétaires suffisants sera chargé d’animer la recherche d’analyse l’évolution de la délinquance et d’évaluer l’activité des services de police et de gendarmerie ainsi que de l’institution judiciaire.
5 - En fin, il faudra mettre un terme à l’inflation législative en matière pénale.

2 - L’école

L’éducation nationale aujourd’hui peine à réaliser sa mission première d’instruction publique et manque à sa promesse d’égalité. L’échec scolaire, les orientations subies restent très nettement corrélés aux caractéristiques familles.
Trop de jeunes sortent encore de l’école primaire sans maîtrise suffisante de la lecture et achèvent leur scolarité sans qualification.
Il faut désormais placer l’éducation au cœur de notre politique, ce qui suppose avant tout qu’elle soit en mesure d’assurer pleinement sa fonction primordiale d’instruction publique. Elle le fera d’autant mieux qu’elle ne se réduira pas au seul périmètre strictement scolaire.
C’est à ce prix que nous construirons une éducation plus juste, plus performante, mieux assise dans la société et que nous pourrons accompagner les jeunes, tous les jeunes, de la petite enfance jusqu’à leur insertion sociale, professionnelle et citoyenne.

L’école doit retrouver son rôle d’ascenseur social. Elle doit donner une formation conclue par une qualification professionnelle à tout jeune sortant du système éducatif, a cette fin, portons l’effort sur certains niveaux d’enseignement qui entraînent de véritables changements chez l’enfant. L’effort doit d’abord porter sur le cycle 5-8ans, pour lequel les équipes éducatives doivent être renforcées, pour permettre à chaque enseignant de consacrer le temps nécessaire aux élèves dont il a repéré les difficultés particulières. Il sera impératif d’améliorer la continuité entre la classe 6ème et le collège.
Face à l’échec scolaire, l’école doit être son premier recours, en adoptant une logique de vigilance collective et d’entraide. Il faut développer les réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté dans le premier degré, et revaloriser le rôle et le statut du personnel de l’enseignement.
La lutte contre l’échec scolaire doit aussi s’appuyer sur le tutorat entre élèves et par les adultes, affirmons tout d’abord notre attachement à la scolarité obligatoire jusqu'à 16 ans.

Le rôle des enseignants :

L’exposition physique et psychique des professeurs est parfois intense. Elle est accentuée par une solitude à laquelle une institution très individualisante n’offre pas de vrais remèdes :  
1 - l’autorité exercée dans le face-à-face avec des classes parfois très dure.
2 - l’absence de collégialité dans la position et la résolution des problèmes laissent certains professeurs très démunis.
3 - l’équipe éducative apparaît trop souvent éclatée, parfois inconsistante, or le dynamisme des équipes et surtout dans des conditions difficiles la clef de la réussite des élèves. C’est cette équipe qu’il faut renforcer, rendre plus cohérent et plus efficace.

Il ne peut y avoir de projet éducatif ambitieux sans mobilisation collective.
Indispensable tout au long du parcours éducatif, ce projet doit aussi permettre à chaque jeune d’identifier ses compétences, de les développer et les valoriser afin qu’il s’épanouisse en les mettant au service de la société.

Un projet, c’est dans le respect des responsabilités, des compétences et des  missions de chacun organiser la coopération avec et autour de l’école de tous les acteurs de l’éducation :
Les parents et dès que possible, les enfants, les professionnels des structures d’accueil de la petite enfance, les personnels de l’éducation nationale et tous les autres membres de la communauté scolaire.
Des relations confiantes de coopération doivent s’établir entre parents et professionnels de l’éducation pour permettre la mise en relation de ces différents acteurs, on pourrait réfléchir avec les wilaya  a expérimenter avec la communautés scolaires l’ouverture ou la création dans les établissements d’espaces dédiés a ces rencontres.
Notre projet politique doit avoir pour ambition répondre aux attentes de notre jeunesse.
Nous devrons proposer des mesures allant dans le sens du droit, pour les jeunes, à leur l’émancipation, à une meilleure insertion sociale et professionnelle  à l’avenir.
Il nous faut proposer une autre vision de la société que celle proposée aujourd’hui, pour répondre à les aspirations des jeunes, nous faisons de l’éducation une priorité dès lors, démocratiser l’école, nécessite une révolution pédagogique qui induit la mise en place de dispositifs de suivi personnalisé des élèves. Cette réforme doit donner à chacun la possibilité de se former comme il le souhaite.
Une réflexion sur le lien entre la formation et l’entrée dans la vie professionnelle doit être menée pour à renforcer la confiance de chacun dans son droit à un avenir.
Nous voulons un projet juste et solidaire qui permette à chacun de vivre une sécurité dans un pays fraternel, confiant en son avenir.

Le débat démocratique ne sera sauvé que si nous arrivons à faire cohabiter dans un même espace des points vue différents sans que cela n'aboutisse à une situation conflictuelle.

Salah khatri
Alicante le 22/11/2006
skhatri@wanadoo.fr


Juventud y la seguridad en los campamentos

Salah khatri

Cómo aceptar el triste espectáculo de las agresiones contra las personas?
Cómo no preocuparse por la seguridad en los campamentos?
La juventud es la riqueza y la esperanza de toda la sociedad. Esta es la razón por la que volamos una política del estado que debe garantizar a cada joven una recepción y una enseñanza de calidad, quién permitirle adquirir la calificación, el mejor posible y de desarrollar sus competencias a lo largo de la vida.
En la actualidad, la mayoría de nuestros conciudadanos sufren o temen vivir esta inseguridad social para ellos mismos y para sus niños.
 El estado permanece el garante de la cohesión nacional, a este respecto, debe garantizar una reparación exactamente y coherente. Se trata de reinstalar el estado y la democracia social como garantes de la justicia social y de una división equilibrada con el fin de hacer surgir de verdadera contra poderes ante los mecanismos devastadores de la economía actual.
El retroceso de los compromisos del estado le impide hoy ser garante de la igualdad entre los ciudadanos. Es esencial reforzar la voluntad y los medios del poder público. Para mucho de nuestros conciudadanos, el futuro es dudoso: trabajar, educar a sus niños, ocuparse han aumentado estos últimos años, la confianza en la acción colectiva para garantizar duraderamente el bienestar de cada uno se pone hoy seriamente a mal. La necesidad de una política coherente se impone más que nunca. A la hora en que las derivas propuesta populista abastecen la crisis de la legitimada de la representación política y también social, deberemos trabajarnos sobre una mejor articulación de la democracia. Y lugar esta democracia en el centro de nuestro proyecto político y en hacer el motor de nuestra acción no puede sino llevarnos que vaya más lejos sobre el camino de la renovación de nuestras ideas sino también de nuestras políticas. Debemos dar formamos a la soberanía popular y a la vez asegurarnos de la libertad de debate, si son condiciones necesarias para la ambición democrática, no son suficientes y sobre todo, no se les no realiza. Constatamos en efecto que el vínculo político entre los representantes y los ciudadanos a través de una crisis profunda. Y subvenciones la situación que conocemos hoy, no podemos hacer el callejón sin salida de una reflexión profunda sobre el tema de la seguridad, es un tema de primera importancia que preocupa al conjunto de nuestros conciudadanos.
Después cerca de de 16 años de espera abandonada, el décrédibilisation de la vida pública es profundo. Debemos proponer una renovación en profundidad de nuestras instituciones y la instauración de una verdadera República, eso pasa en primer lugar por el cuestionamiento de superioridad excesiva del ejecutivo sobre el legislativo y por el refuerzo de la deliberación colectiva.
El Parlamento debe ser un verdadero legislador y no una simple cámara de registro. Al Parlamento como en las otras instancias deliberativas, la democracia controla también revisar el estatuto de la oposición y reconocerse el derecho de iniciativa debe a los ciudadanos (petición). Para intentar de rastros de las perspectivas, para tener en cuenta estas desigualdades, por sus persistencias, para intentar sobrepasarlos y de proseguir la ambición democrática constative de nuestra identidad política. Intentaré mencionar mi experimentado al tema y estoy incluso un tanto impaciente.

1 - La justicia:

La justicia es un instrumento esencial de la cohesión social, está en el centro del funcionamiento democrático de nuestras instituciones. La crisis por la que la justicia atraviesa desde siempre es una cuestión funcional, La justicia penal, la justicia civil, funcionan mal, y espere respuestas político a la altura de las necesidades. El grave amenaza contra la República que constituye la actividad de los grupos islamista y la delincuencia organizada justifica la existencia de una política penal específica.
La lucha contra la delincuencia de derecho común, la repetición y el desarrollo de la violencia en los jóvenes sólo saldrá bien si somos capaces, al mismo tiempo, mejorar la protección de las libertades individuales y desarrollar una política global que garantice la eficacia de los dispositivos de prevención, por represión, y de desarrollo económico y social. Los sahraouis esperan mucho de su justicia, el poder debe ponerlo todo en abre para que los ciudadanos encuentren confianza en la justicia.

La justicia debe ser:
1 - Uno justicia más próxima a los ciudadanos y más accesible: en particular, para los más escasos, quién esto sea al penal, para las víctimas de infracciones, al civil para los contenciosos de la familia.
A - Las casas de la justicia y el derecho deben ver su papel consolidado y sus mayores medios en una política de acceso ampliado al derecho y ayuda a la Resolución amistosa de los litigios (conciliación, mediación) bajo el control del juez.
B - La ayuda jurisdiccional debe evolucionar para permitir a los abogados asistir provechosamente a las personas justiciables, incluso en los asuntos complejos, al penal como al civil.
2 - una justicia de calidad más rápida y más eficaz:
3 - una justicia más protectora de las libertades y derechos de las víctimas:
A: una situación en las prisiones respetuosas de los derechos humanos.
B: la creación de una verdadera jurisdicción de las libertades y de la detención.
C: luchar contra la repetición desarrollando las primas alternativas a la detención.
Parece indispensable hoy de:
1 -   cada año el Ministro de Justicia presentará al Parlamento sus prioridades de política judicial y un informe sobre la actividad judicial.
2 -   El desarrollo de los medios humanas y materiales de la justicia necesaria para la aplicación de estas políticas será objeto de una ley de programación.
3 -   La formación de los magistrados y funcionarios deberá tener en cuenta lo que está en juego a niveles morales, económicos y sociales de la actividad judicial.
4 -   Un verdadero observatorio nacional de la delincuencia independiente y dotado con los medios presupuestarios suficientes estará cargado animar la búsqueda de análisis la evolución de la delincuencia y evaluar la actividad de los servicios de policía y gendarmería así como de la institución judicial.
5 -   En final, será necesario poner un término a la inflación legislativa en materia penal.

2 - La escuela:
 

La educación nacional hoy apenó a realizar su primer misión de ensenanza pública y falta a su promesa de igualdad. El fracaso escolar, las orientaciones sufridas permanecen muy claramente correlacionadas de las características familias.
Demasiados jóvenes salen aún de la escuela primaria sin control suficiente del lector y acaban su escolaridad sin calificación. Es necesario en adelante colocar la educación en el centro de nuestra política, lo que supone sobre todo que esté en condiciones de garantizar plenamente su función primordial de ensenanza pública. Lo hará tanto más que no se reducirá únicamente al perímetro estrictamente escolar. Es a este precio que nosotrosconstruiremos nosotros educación más justa, más potente, mejor sentada en la sociedad y que podremos acompañar a los jóvenes, todos los jóvenes, de la pequeña infancia hasta su inserción social, profesional y ciudadana. La escuela debe encontrar su papel de ascensor social. Debe dar una formación concluida por una calificación profesional a todo joven que sale del sistema educativo, a tal efecto, llevemos el esfuerzo sobre algunos niveles de enseñanza que implican verdaderos cambios en el niño. El esfuerzo debe en primer lugar referirse al ciclo 5-8anos, para cuál los equipos educativos deben reforzarse, para permitir a cada profesor consagrar el tiempo necesario para los alumnos cuyas dificultades situó particulares. Será imprescindible mejorar la continuidad entre la fijara 6em y el órgano colegiado.
Ante el fracaso escolar, la escuela debe ser su primer recurso, adoptando una lógica de vigilancia colectiva y ayuda mutua. Es necesario desarrollar las redes de ayudas especializadas a los alumnos en dificultad en el primer grado, y revalorizar el papel y el estatuto de los personal de la enseñanza.
La lucha contra el fracaso escolar debe también basarse en el tutorat entre alumnos y por los adultos afirman en primer lugar nuestro compromiso en pro de la escolaridad obligatoria hasta 16ans.

El papel de los profesores: 

La exposición física y psíquica de los profesores es a veces intensa. Es acentuada por una soledad a la cual una institución muy que individualiza no ofrece verdaderos remedios:
1 -   la autoridad ejercida en el face-à-face con clases a veces muy dura.
2 -   la ausencia de colegialidad en la posición y la Resolución de los problemas dejan a un algunos profesores muy desamparados.
3 -   El equipo educativo aparece demasiado a menudo estallado, a veces suave, ahora bien el dinamismo de los equipos y sobre todo en condiciones difíciles la clave del éxito de los alumnos. Es esta equipo quien es necesario reforzar, volver más coherente y más eficaz. Hay proyecto educativo ambicioso sin movilización colectiva. Indispensable a lo largo del curso educativo, este proyecto debe también permitir a cada joven definir sus competencias, desarrollarlos y valorizarlos para que se abra poniéndolos al servicio de la sociedad.
Un proyecto, es en cumplimiento de las responsabilidades, competencias y misiones de cada uno organizar la cooperación con y en torno la escuela de todos los protagonistas de la educación: Los padres y cuanto antes, los niños, los profesionales de las estructuras de recepción de pequeña infancia, los personal de la educación nacional y todos los demás miembros de la comunidad escolar.
Relaciones que confían de cooperación deben establecerse entre padres y profesionales de la educación para permitir la puesta en relación de estos distintos protagonistas, se podría reflexionar con los welayas que deben experimentarse con las comunidades escolares la apertura o la creación en los establecimientos de espacios dedicados a estos encuentros.
Nuestro proyecto político debe tener por ambición responder a las esperas de nuestra juventud. Deberemos proponer medidas que irán en el sentido del derecho, para los jóvenes, a la su emancipación, a una mejor inserción social y profesional en el futuro.
Debemos proponernos otra visión de la sociedad que el propuesto hoy, para responder a las aspiraciones de los jóvenes, hacemos de la educación una prioridad por lo tanto, democratizar la escuela, requiere una revolución pedagógica que induce la instauración de dispositivos de seguimiento personalizado de los alumnos. Esta reforma debe dar a cada uno la posibilidad de formarse como el desea. Una reflexión sobre el vínculo entre la formación y la entrada en la vida profesional debe llevarse para a reforzar la confianza de cada uno en su derecho a un futuro. Queremos un proyecto justo y solidario que permita a cada uno vivir una seguridad en un país fraternal, confiando en su futuro. Sólo se salvará el debate democrático si no somos llegar a hacer cohabitar en un mismo espacio de los puntos vista diferentes sin que eso consiga una situación conflictual.


Salah khatri                                                                                                                                            
Alicante el 22/11/2006
skhatri@wanadoo.fr

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