OPINION

 

LA CULTURE   ET  LE DEVELOPPEMENT SOCIAL

Salah Khatri

La culture se définit par rapport à des personnes et à des groupes, depuis la famille jusqu’au quartier ou au pays. La culture émane de la vie quotidienne dont elle constitue la trame et révèle les tensions et les interactions au sein d’une communauté humaine laquelle se trouve sans cesse au contact d’autres communautés et en général du monde extérieur.
Une partie de cette culture est héritée : c’est le patrimoine, qui inclut la mémoire, des objets, des comportements reçus de l’éducation et du milieu.
Une autre partie est en constante transformation : elle comprend notamment les réponses données par les personnes et les groupes aux problèmes qui leur sont posés par l’environnement, la société, les autres groupes et communautés. Les réponses sont généralement des initiatives individuelles ou collectives. Elle se détermine face à l’action de la collectivité, représentée par les institutions et les politiques publiques.
La culture est un facteur de mobilisation pour le développement, par une prise de confiance et la mise en œuvre des potentiels de la communauté. Mais la mobilisation ne se décrète pas il faut d’abord en créer les conditions, améliorer l’environnement quotidien et la confiance en soi, pour que la population puisse retrouver pleinement sa conscience de citoyens.
Cette conscience doit constituer le cœur d’une stratégie de développement culturel, et de développement social, en visant le développement des personnes et des groupes sociaux, qui contiennent de fait l’idée et le projet de l’expression. Dans un projet politique de développement social qui doit respecter  le facteur culturel, les changement exigent du temps.  Et dans ce projet, il faut que la dimension sociale et la dimension culturelle du développement soient deux  approches de la même démarche.

La culture et la société :

La difficulté de notre développement  social consiste dans :
- Une programmation au coup par coup dans le cadre de procédures contraignantes.
- Il n’y a pas réellement une dimension culturelle dans notre politique.

Face au changement social dans notre société, le ministère de la culture a la responsabilité d’écouter, non pas une demande, mais une offre qui vient de la population elle-même, une telle démarche induira un autre rapport avec les citoyens qui deviendront des partenaires à part entière de l’action culturelle.

Avant tout :
- Il faut ouvrir le débat sur le développement social et le développement culturel.
- Définir des stratégies globales et des programmes d’action culturelle à partir d’une approche anthropologique sociale et culturelle incluant les arts comme pratique symbolique particulière et non centrale au sein du culturel.
- Assumer le développement social comme étant un processus d’instauration des populations comme acteurs responsables et centraux dans la perspective démocratique.
- Susciter le maximum de maillage d’acteurs dans les actions dans la mesure où chacun s’accorde à dire que la culture est l’affaire de tous et non le bien d’un seul.
- Mise en commun des forces matérielles et humaines pour réussir.
- Donner accès à la culture au sens professionnel du terme.

Pour que le développement social soit efficace le ministère de la culture doit trouver de nouveaux modes de communication avec le peuple dans un cadre plus large et des programmes globaux qui commencent par :
- La création des institutions culturelles et artistique indépendantes comme :
1. agence de développement culturel et social.
2. union des artistes.
- Faire de l’animation un art  et ressource de transmission des savoir, et du patrimoine oral.

Ce programmes  qui conduit a une double commande  auprès des artistes, création et animation, ce couplage se décline lui-même en trois modalités :
1. L’artiste devient animateur.
2. L’artiste a recours à l’animation comme méthode de sa propre création.
3. L’artiste et le public créent ensemble.
- Il faut s’engager et s’investir en matière culturelle et artistique soit pour valoriser ce qui existe déjà, soit pour créer des situations, des contextes, où il n’existe rien, et une définition de la culture qui puisse être partagée.

A ce sujet  se pose une série de questions comme :
- Quel doit être le contenu d’une politique culturelle vis-à-vis d’une population en grande difficulté ?
- Faut-il anticiper les attentes au risque de se tromper ?
- L’approche culturelle consiste-t-elle à répondre par une offre ou à créer un dialogue ?

La culture et l’école :

Dans le système scolaire, l’enjeu n’est plus seulement celui du succès scolaire, il est aussi peut-être, l’accès à un équilibre culturel permettant une insertion dans la société et le respect de ses règles.
Si on veut conforter les acquis en matière de la culture à l’école, plusieurs pistes peuvent être proposées  dans ce sens :
- Une action culturelle dans l’enseignement : introduire dans le programme scolaire,
1. Des ateliers d’écriture et du théâtre
2. Lecture, conte, éveil, découverte
- Initiation artistique, théâtrale et musicale.
- Initiation et pratique des techniques modernes, telle que photo, vidéo, cinéma.
- Une formation des enseignants, par une coopération étroite entre les deux administrations de l’éducation et de la culture de manière à échanger des pédagogies et des expériences.
- Les effets sur les enfants de l’action culturelles et artistique devraient pouvoir s’évaluer globalement et dans le temps.

Le patrimoine et la mémoire d’une population constituent la plus importante ressource dont cette population dispose pour assurer son propre développement à travers éducation, cohésion sociale, confiance en soi, liens intergénérations, ceci est encore plus vrai lorsque la crise, sociale, culturelle, que connaît cette population menace la transmission de cette mémoire et de ce patrimoine.
La culture mérite une reconnaissance comme dimension à part entière dans notre politique, sans une culture active consciente de sa valeur et de ses valeurs confirmées, il n’y a pas de développement social possible, mais seulement des actions comme c’était le cas depuis toujours.

SALAH  KHATRI
     9 sept.-06


OPINION

 

LA CULTURA   Y el DESARROLLO SOCIAL

Salah Khatri

La cultura se define con relación a personas y en a grupos, desde la familia hasta el barrio o al país. La cultura emana de la vida diaria cuya trama constituye y revela las tensiones y las interacciones al suyo de una comunidad humana la cual se encuentra sin cesar al contacto de otras comunidades y en general del mundo exterior. Se hereda una parte de esta cultura: es el patrimonio, quién incluye la memoria, objetos, comportamientos recibidos de la educación y el medio.

Otra parte está en constante transformación: incluye, en particular, las respuestas otorgadas por las personas y los grupos a los problemas que les son planteados por el medio ambiente, la sociedad, los otros grupos y comunidades. Las respuestas son iniciativas generalmente individuales al colectivas. Elle se détermine face à l’action de la collectivité, représenté par les institutions et les politiques publiques. La cultura es una factura de movilización para el desarrollo, por una toma de confianza y la aplicación de los potenciales de la comunidad. Pero la movilización no se publica él es necesario en primer lugar crear las condiciones, mejorar el medio ambiente diario y la confianza enLa cultura es una factura de movilización para el desarrollo, por una toma de confianza y la aplicación de los potenciales de la comunidad. Pero la movilización no se publica él es necesario en primer lugar crear las condiciones, mejorar el medio ambiente diario y la confianza ensí, para que la población pueda encontrar plenamente su conciencia de ciudadanos.
Esta conciencia debe constituir el corazón de una estrategia de desarrollo cultural, y desarrollo social, destinándose al desarrollo de las personas y grupos sociales, desarrollo social, destinándose al desarrollo de las personas y grupos sociales, contienen de hecho la idea y el proyecto de la expresión. En un proyecto político de desarrollo social que debe respetar el factor cultural y el cambio exigen el tiempo.  Y en este proyecto, es necesario que la dimensión social y la dimensión cultural del desarrollo sean dos enfoques del mismo planteamiento.

La cultura y la sociedad:               

La dificultad de nuestro desarrollo social consiste en:
- Una programación el poco a poco en el marco de procedimientos vinculantes.
- No hay realmente una dimensión cultural en nuestra política.

Ante el cambio social en nuestra sociedad, el Ministerio de Cultura a la responsabilidad de escuchar, no una demanda, pero una oferta que viene de la propia población, tal planteamiento inducirá otro informe con la ciudadana que se volverán socios de pleno derecho de la acción cultural.

Sobre todo:
-  es necesario abrir el debate sobre el desarrollo social y el desarrollo cultural.
-  Definir estrategias globales y es programas de acción cultural a partir de un enfoque antropológico social y cultural que incluye las artes como práctica simbólica particular y no central al suyo del cultural.
-  Asumir el desarrollo social como un proceso de instauración de la población como protagonistas responsables y centrales en la perspectiva democrática.
-  Suscitar el máximo de dimensión de la malla de protagonistas en las acciones la medida donde cada uno se concede a decir que la cultura es el asunto de todos y no el bien de uno sólo.
-  Puesta en común de las fuerzas materiales y humanas para conseguir.
-  Dato acceso a la cultura al sentido profesional del término.

Para que el desarrollo social sea eficaz el Ministerio de Cultura debe encontrar nuevos métodos de comunicación con el pueblo en un marco más amplio de los programas globales comienza por:
-  la creación de las instituciones culturales y artística independiente como:
1. agencia de desarrollo cultural y social.
2. unión de los artistas.
-  hacer de la animación un arte y recurso uno de transmisión del conocimiento, y de Patrimonio oral:

Estos programas que conducen a un doble pedido adjunto a los artistas, creación y animación, este acoplamiento se él mismo decadencia en tres modalidades:
1. el artista se convierte en animador.
2. artista recurre a la animación como método de su propia creación.
3. El artista y el público que crea juntoes
- necesario se compromete y se compromete en materia cultural y artístico sea para valorizar lo que ya existe, o para crea situaciones, contextos, o no existe nada, y una definición de la cultura que dibuja ser división.
Este tema se plantea una serie de las cuestiones como: ¿
- cuál debe el contenerse de una política cultural frente a una población en gran dificultad?
- es necesario anticipar las esperas a riesgo de equivocarse?
- el enfoque cultural consiste en responder por una oferta o en crear un diálogo?

La cultura y la escuela:

En el sistema escolar, lo que está en juego no es ya sino el del éxito académico, es también quizá, el acceso a un equilibrio cultural que permite una inserción en la sociedad y cumplimiento de sus normas.
Si se quieren consolidar los acervos en materia de la cultura a la escuela, varias pistas pueden ser proponen en este sentido:
- una acción cultural en lo enseñan: introducir en el programa escolar,
1. talleres de escritura y el teatro
2. lector, cuento, despertar,
- descubrimientoiniciación artística, teatral y musical.
- Iniciación y práctica de las técnicas modernas, como fotografía, vídeo, cine.
- Una formación de los profesores, por una estrecha cooperación entre las dos administraciones de la educación y la cultura para intercambiar pedagogías y experiencias.
- Los efectos sobre los niños de la acción culturales y artística deberían poder evaluarse globalmente y en el tiempo.

El patrimonio y la memoria de una población constituyen el el más importante recurso del que esta población dispone para garantizar su propio desarrollo a través de educación, cohesión social, confianza en sí, vínculos inter generaciones, esto es aún más verdadero cuando la crisis, social, cultural, quién conoce a esta población amenaza la transmisión de esta memoria y este patrimonio.
La cultura merece un reconocimiento como dimensión va entera en nuestra política, sin una cultura activa consciente de su valor y los sus valores, confirmada, no hay desarrollo social posible, pero solamente de la acción como era el caso todavía desde.   

SALAH  KHATRI      
9 de sept.-06


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