OPINION

 

Zapatero et la mémoire collective

Salah Khatri

Tous les peuples démocratiques ont un goût naturel pour la liberté, et l’égalité. Et la place des droits de l’homme demeure toujours aussi importante, car, il est le seul qui peut réintroduire les valeurs de la société, les principes moraux et les objectifs politiques. La démocratie comporte en elle-même une manière d’appel au renforcement permanent de l’égalité, la modernité qu’est le fruit de notre liberté.
Et plus général dans la démocratie se trouvent les valeurs comme l’honnêteté, la solidarité et la responsabilité.
Chacun parmi nous connaît  le grand débat dans la société espagnole sur les trois questions suivantes :
l'ETA,  le Sahara Occidental et le passé franquiste.
La position du gouvernement espagnol et son chef Zapatero sur ces trois questions fait l’objet d’une immense polémique. Cette position à pouvoir introduire et expérimenter un changement technique et tactique comporte un risque sur les intérêts généraux. Elle est justifiée par une défense des intérêts généraux, au contraire, elle est juste un sentiment des intérêts général.
Ici, il ne s’agit pas de savoir ce que le gouvernement espagnol se propose momentanément comme but, il s’agit de savoir ce que le PSOE est ? Et ce qu’il doit historiquement faire ? Conformément à son devoir envers la démocratie et les droits de l’homme. Il me paraît superflu la vision de Zapatero sur ces trois  questions.
Essayons simplement de poser la question a partir de cette polémique de façon que la question que nous posons puisse être soumise à vérification et permette d’imaginer et de préciser les instrument par lesquels on peut les vérifier.
Une position à partir d’une analyse méticuleuse des implications pratiques de la théologie morale et de la conduite des partisans.
Il y a donc, semble-t-il, une liaison fonctionnelle entre les trois questions aussi distants en apparence, l'ETA, la causse du peuple Sahraoui et Franco.
Il ne suffisait pas de regarder cette réalité sans idée préconçue, mais il fallait au contraire y trouver ce qui peut être significatif pour cette réalité.
Le problème est de se demander quels rapports il peut y avoir entre les trios questions ?
Il y a probablement un certain nombre de rapport entre les trois questions et la société espagnole. Le postulat fondamental c’est qu’il y a une certaine logique et aussi certaine cohérence fonctionnelle entre ces éléments, les enjeux entre les trois fontt partie de l’histoire contemporaine de la société espagnole. Ces trois questions peuvent être comparées de point vue d’une caractéristique unique, ils parlent à la mémoire collective de la société espagnole.
Dans cette polémique apparaissent plusieurs faits :
- En premier lieu, le gouvernement espagnol va plus vite pour résoudre le problème de l’ETA, avec des chantages et des mensonges.
- En second lieu, il y a le bouc émissaire et le refus complet du passé franquiste :
1-Dans le cas du peuple Sahraoui, on saisit très bien là, la liaison entre le PSOE et le Maroc. Le parti socialiste espagnol a tendance à chercher des boucs émissaires et  la cause Sahraouie, est une cause sur laquelle il dépense toujours son échec, et il rejette sur le peuple Sahraoui un péché dont il a peur.
2- dans le cas de Franco, une sanction par la loi (changement de nom des places et des rues qui portent le nom de Franco) pour obliger les citoyens à respecter une démarche partisane.
- En troisième lieu, il y a les détournements des véritables intérêts, moraux et économiques de la société espagnole, à partir d’une fausse analyse des trois questions et  leur dépouillemnt de leur contexte historique,  et  leur réduction à un analyse stratégique et des enjeux politique très loin des intérêts collectifs.
De cette politique résulte la contradiction au sein du PSOE et les rivalités d’intérêts politiques et économiques. Et dans les trois cas la position de Zapatero, c’est comme les fausses fenêtres pour la symétrie architecturale. Il faut bien reconnaître que Zapatero n’est pas capable de préciser ces qualités du chef. Or lorsqu’on cherche une explication, c’est la preuve qu’on touche un phénomène complexe chez les socialistes espagnols.
Le PSOE vit un choc frontal entre la démocratie, achevée et peu changeante, et la modernité, infatigable des structures d’équilibres et de redistribution des valeurs.
La drame du PSOE tient au fait que ce conflit fort ancien  était régulé par un mauvaise gestion d’état et un culture régionale, cela a rendu l’état espagnol non efficace, l’Espagne et les espagnols vivent cela très mal, depuis le temps que le gouvernement socialiste espagnol bricole, nous savions bien qu’ils ont  pour but non d’être appliqués mais de servir d’enjeu d’une guerre internes entre les prétendants. Mais, avant tout il faut savoir que le péché est plus grave chez le curé que chez les fidèles.

Salah Khatri

Alicante juillet 2007


Zapatero y la memoria colectiva

Salah Khatri

Todo  pueblo democrático sabore la libertad, y la igualdad. Y los Derechos Humanos ocupan un lugar importante ya que a traves de ellos se pueden reintroducir los valores de la sociedad, los principios morales, los objetivos políticos. La democracia implica en sí mismo una manera de llamada al refuerzo permanente de la igualdad, la modernidad es el fruto de nuestro libertad, y de manera general los principios de honradez, la solidaridad y la responsabilidad.
Cada uno de nosotros conoce  el gran debate que suscita en la sociedad española sobre las siguientes cuestiones: el pasado franquista, ETA y el Sahara Occidental.
La postura del PSOE y su presidente Rodríguez Zapatero hacia estas tres cuestiones es objeto de una gran polémica; Esta justificada
Esta posición de poder introducir y experimentar un cambio técnico y táctico implica un riesgo sobre los intereses generales que esta justificado por una defensa de intereses generales sin embargo es solo un sentimiento de interés general;
No se trata de conocer los objetivos momentáneos del PSOE, se trata de saber cual es su rol histórico en la democracia y el papel que juega en la defensa de los derechos humanos.
Parece superflua la visión del presidente Zapatero sobre estas tres cuestiones intentemos simplemente de plantear la cuestión sobre esta polémica de manera que las cuestiones que planteamos puedan someterse a comprobación y permitan imaginar y precisar los instrumentos por los cuales se puede comprobar.
Una posición a partir de un análisis meticuloso de las implicaciones Prácticas de la teología moral y la conducta de los partidarios.
Hay interrelación entre estas tres cuestiones tan diferentes aparentemente, ETA. La causa saharaui; el pasado franquista;
No bastaba con observar la realidad sin idea preconcebida, sino que era necesario a contrario allí encontrar lo que corre el riesgo de ser significativo Para la teoría.
El problema consiste en preguntarse qué tienen en común las  tres cuestiones?
Hay probablemente un determinado número elementos de relaciones entre los tres casos y la sociedad española. El postulado fundamental es
Que hay una determinada lógica y también determinada coherencia funcional entre estos elementos, el juego entre los tres hechos  de la historia contemporánea de la sociedad española.
Estos tres fenómenos tienen un denominador común, forman parte de la  memoria colectiva de la sociedad española.
En esta polémica aparecen varios hechos, en primer lugar, el gobierno se precipita en querer solucionar el Problema del ETA, con chantajes y de mentira.
En segundo lugar, hay cabeza de turco y es la negación completa del pasado franquista:
1 - En caso del pueblo Saharaui, sabemos la relación entre el gobierno español y Marruecos.
Dejaba entre el gobierno socialista y Marruecos tiende a buscar cabeza de turco,  tienden a buscar cabezas de turco y la causa saharaui, es un cause sobre la cual gasta su fracaso, derraman sobre el pueblo Saharaui, un pecado Incluido él rechace sobre el pueblo Saharaui, un pecado del que tienen miedo.
2 - en el caso de franco, una sanción por la ley (cambio de nombre de Los lugares y calles que lleva el nombre de franco) para obligada los Ciudadanos a respetar un planteamiento partidario.
3  - Hay los desvíos de los verdaderos intereses, morales y económicos de la sociedad española, a partir de un falso análisis de las tres cuestiones y sacadas fuera de su de su contexto histórico, y se reduce en análisis estratégico y  juegos políticos lejos de los intereses colectivos. Esta política revela las contradicciones en el seno del PSOE y rivalidades de Intereses político y económico.
Y en los tres casos la posición de Zapatero, es como  falsas ventanas para la simetría arquitectónica. Es necesario reconocer bien que Zapatero no es capaz de precisar estas calidades del jefe.
Ahora bien cuando se busca una explicación, es la prueba de que se afecta un fenómeno complejo en los socialistas españoles. El PSOE vive un choque frontal entre la democracia rematada y poco cambiante, y la modernidad, infatigable de las estructuras de equilibrios y redistribución de los valores.
El drama del PSOE se debe a que este conflicto muy antiguo, era causado  por una mala gestión de estado y una cultura regional, eso volvió el Estado español no eficaz, España y las españolas viven mal, desde el tiempo que el PSOE chapucean, nos demuestra que no se quieren implicar servirse de la guerra interna entre los aspirantes.
Quizás seria  necesario recordar que el pecado pesa mas sobre un cura que los fieles.

Salah Khatri
Alicante
agosto 2007


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